Les Chroniques de Krivis
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Les Chroniques de Krivis
Chronique n°1 : Le Prix de la Noblesse.
Je m'appelle Krivis Valyena. J'aurais pus avoir une vie banale de laquelle je me serais pleinement satisfait, mais il a du être écrit que je devrais mener une existence tumultueuse. Je n'ai pas choisi ma destiné, je me console juste en me disant qu'à vivre sans périls on triomphe sans gloire. Voilà une parcelle de mon histoire.
La Famille Valyena, était une maison Noble. Elle était l'une des dernières famille de sang purs. Ce petit détail impliquait que ses membres voyaient leurs pouvoirs décuplés. La « souche pure », les héritiers du pouvoirs des Dieux Anciens. Cette élite avait eux une influence politique sur le royaume Elfique d'aussi loin qu'ils avaient des ailes.
Néanmoins le bruit courait que les Valyena étaient des êtres froids, méprisants et nourrissant de noirs desseins. Tout cela était pleinement justifié. Ils étaient imbus de leurs personnes et leur fierté n'avait laissé aucune place à la magnanimité. Tous ceux qui s'étaient publiquement dressé contre cette famille furent mystérieusement retrouvé morts.
Cette Maison louait un culte intangible à l'art de manipuler a foudre, leur meilleure arme. Aussi il était dit que si la nuit avait été orageuse, les Valyena avaient encore appuyé leur notoriété en assassinant un trouble-fête. Ces soirs là les citoyens préféraient se cloitrer chez eux.
J'avais été gâté autant qu'on pouvait l'être, j'ai grandi dans un luxe notable et suivi une éducation parfaite, tout ce qui était digne d'un enfant noble m'était revenu. Mon Père était le chef de cette maison. Il était puissant et très craint. Je ne le voyais que très peu. J'avais trois grands frères, déjà membres à part entière de l'Ordre Valyena. Ils avaient hérité de la fierté de notre nom, et tenaient parfaitement les affaires de notre famille. J'avais également une grande sœur, elle était plus jeune que mes ainés mais avait tout de même huit ans de plus que moi. C'était elle qui s'occupa de moi, Ma mère avait été assassinée peut après ma naissance, on ne sut jamais par qui mais mon père la vengea en mettant à feu et à sang des villages et en tranchant des têtes, à titre d'exemple. Les notables Elfes n'approuvèrent pas mais ils n'osaient se dresser contre la famille tyran. Nonobstant nous n'eurent plus aucune perte du genre, et je fis mes premier pas dans la plus grande sérénité qui soit. Aladrya, ma sœur, étant encore jeune, suivit ses cours de magie avancée avec moi. Nous apprîmes le za-zen, l'art des soins et bien entendu l'art de manipuler la foudre. Parmis nous il y avait d'autres enfants, il était gênant de devoir les accompagner alors que nos tenues onéreuses nous facilitaient la tâche et que nos parchemins d'apprentissages nous faisaient progresser bien plus vite qu'eux. Ils nous lançaient parfois des regards méprisants, mais ma sœur, gardant le sourire me dit de les ignorer, qu'ils étaient la vermine de ce monde enviant ceux qui le dirigent. C'est suivant ce concept que je fus élevé.
Néanmoins, de nature curieuse je voulais en apprendre plus sur les autres. Je voulais rencontrer ces paysans dans les champs hors de la ville, puis plus loin, les hommes, les hommes et femmes bêtes... Je les trouvais fascinants. Nous avions un homme tigre retenu prisonnier dans nos douves. Ma familles et ses amis nobles se délectaient du spectacle lorsqu'il déferlait sa rage sur ses chaines. Une bête de foire, ce n'était rien de plus à leurs yeux. Discrètement j'allais le soir lui parler, je lui apportais de la nourriture et il me parlait de sa ville natale, de sa culture. J'étais le seul Valyena qu'il ne haïssait pas. J'en étais fier, en soit. Aladrya était consciente de mes escapades nocturnes, mais elle me couvrait vis à vis de mon père.
Ce fut lorsque j'avais 12ans que tout changea. Je fréquentais en cachette un enfant-loup et un humain de mon âge. Je m'opposais de plus en plus aux mœurs de ma famille. Un jour un fils de noble profana un temple, sa famille était proche de la mienne aussi mes frères maquillèrent la scène et accusèrent mes amis, pour qu'ils soient punis à la place du vrai délinquant. En apprenant cela je couru dans l'une de ces grandes salles de réunions où les nobles se regroupaient pour traiter des affaires de notre nation, mon père siégeait fièrement au conseil avec mes frères à ses côtés. J'hurlai de colère la vérité, mais je fus trainé dehors et jeté en prison. Mon père ne m'avait même pas accordé un regard...
Quelques jours plus tard on m'amena dehors, dans la cours, il pleuvait, des éclairs scindaient le ciel. Deux gros bras, un prêtre et l'un de mes frères étaient là. Ce dernier me lu un compte rendu d'une audience. Je restai bouche bée, il venait de m'annoncer ma mise à mort pour trahison, je ne comprenais pas, cela n'avait aucun sens, j'étais son frère, condamna t-il à mort simplement pour avoir débarqué dans la salle de réunion en criant ? C'était impossible, quelque chose m'échappait. Il tourna les talons et s'en alla, je voulu l'arrêter et exiger des explications, mais j'eus à peine fait un pas que les deux armoires a glace me retinrent. Le prêtre apparemment consterné posa la paume de sa main sur mon front, aussitôt une décharge électrique me secoua le corps. Ce courant mortel se rependait en moi, je mourais.
Mais Non! Je devais résister, combattre! Je me souvins des sorts des soins, j'excellais en la matière. La petite lumière bleue m'entoura, mes muscles tremblaient, mon sort me maintenait en vie mais la douleur restait insoutenable. Néanmoins à travers le calvaire je la vis. Aladrya arriva en volant à une vitesse incroyable, plus rapide encore, son dévastateur éclair blanc. Il transperça le prêtre et propulsa à des mètres de là sa dépouille brulée. Elle se débarrassa avec autant de facilité des deux gardes. Lorsque leur étreinte s'en alla avec leurs corps, je tomba à genoux, mes forces m'abandonnaient, mais dès qu'elle posa ses mains sur mes joues je stoppai ma course vers l'évanouissement, ses soins faisaient déjà effet sur moi.
« - Krivis, me dit-elle, tout ceci est une mascarade, on n'a jamais condamné un enfant de 12ans pour si peu, mais je ne vais pas pouvoir influencer notre père pour cette affaire là, vas t-en Krivis, ne remets jamais les pieds ici, je tenterais de découvrir ce que tout ceci cache... »
En même temps qu'elle parlait elle me faisait monter sur une panthère, dans l'étable voisine. Je l'écoutais à moitié, le tonnerre grondait encore dans mes oreilles. Puis elle embrassa mon front et claqua l'arrière de ma monture qui fonça à toute vitesse loin d'ici.
Mes paupières étaient lourde, m'agrippant à la scelle de l'animal, je tombai inconscient contre son pelage noir.
Tout était très clair pourtant, ma famille avait voulu se débarrasser de moi, mon intervention en salle de conférence n'avait été qu'un prétexte. Il allait sans doutes se dire que je tuai les gardes avant de m'échapper, ma sœur dira qu'elle appris ma condamnation trop tard, je serais sans doutes pourchassé et la vérité ne me sera révélé qu'au prix de certain sacrifices. Mais il le fallait. Je m'entrainais seul dans une aventure qui allait peut être me couter la vie, mais je devais découvrir ce qui se tramait chez les Valyena, pourquoi j'avais frôler la mort. Je rouvris lentement les yeux, je voyais du sable et des canyons, je devais être dans le désert, mais à l'horizon c'était un futur difficile qui se profilait.
A suivre...
Je m'appelle Krivis Valyena. J'aurais pus avoir une vie banale de laquelle je me serais pleinement satisfait, mais il a du être écrit que je devrais mener une existence tumultueuse. Je n'ai pas choisi ma destiné, je me console juste en me disant qu'à vivre sans périls on triomphe sans gloire. Voilà une parcelle de mon histoire.
La Famille Valyena, était une maison Noble. Elle était l'une des dernières famille de sang purs. Ce petit détail impliquait que ses membres voyaient leurs pouvoirs décuplés. La « souche pure », les héritiers du pouvoirs des Dieux Anciens. Cette élite avait eux une influence politique sur le royaume Elfique d'aussi loin qu'ils avaient des ailes.
Néanmoins le bruit courait que les Valyena étaient des êtres froids, méprisants et nourrissant de noirs desseins. Tout cela était pleinement justifié. Ils étaient imbus de leurs personnes et leur fierté n'avait laissé aucune place à la magnanimité. Tous ceux qui s'étaient publiquement dressé contre cette famille furent mystérieusement retrouvé morts.
Cette Maison louait un culte intangible à l'art de manipuler a foudre, leur meilleure arme. Aussi il était dit que si la nuit avait été orageuse, les Valyena avaient encore appuyé leur notoriété en assassinant un trouble-fête. Ces soirs là les citoyens préféraient se cloitrer chez eux.
J'avais été gâté autant qu'on pouvait l'être, j'ai grandi dans un luxe notable et suivi une éducation parfaite, tout ce qui était digne d'un enfant noble m'était revenu. Mon Père était le chef de cette maison. Il était puissant et très craint. Je ne le voyais que très peu. J'avais trois grands frères, déjà membres à part entière de l'Ordre Valyena. Ils avaient hérité de la fierté de notre nom, et tenaient parfaitement les affaires de notre famille. J'avais également une grande sœur, elle était plus jeune que mes ainés mais avait tout de même huit ans de plus que moi. C'était elle qui s'occupa de moi, Ma mère avait été assassinée peut après ma naissance, on ne sut jamais par qui mais mon père la vengea en mettant à feu et à sang des villages et en tranchant des têtes, à titre d'exemple. Les notables Elfes n'approuvèrent pas mais ils n'osaient se dresser contre la famille tyran. Nonobstant nous n'eurent plus aucune perte du genre, et je fis mes premier pas dans la plus grande sérénité qui soit. Aladrya, ma sœur, étant encore jeune, suivit ses cours de magie avancée avec moi. Nous apprîmes le za-zen, l'art des soins et bien entendu l'art de manipuler la foudre. Parmis nous il y avait d'autres enfants, il était gênant de devoir les accompagner alors que nos tenues onéreuses nous facilitaient la tâche et que nos parchemins d'apprentissages nous faisaient progresser bien plus vite qu'eux. Ils nous lançaient parfois des regards méprisants, mais ma sœur, gardant le sourire me dit de les ignorer, qu'ils étaient la vermine de ce monde enviant ceux qui le dirigent. C'est suivant ce concept que je fus élevé.
Néanmoins, de nature curieuse je voulais en apprendre plus sur les autres. Je voulais rencontrer ces paysans dans les champs hors de la ville, puis plus loin, les hommes, les hommes et femmes bêtes... Je les trouvais fascinants. Nous avions un homme tigre retenu prisonnier dans nos douves. Ma familles et ses amis nobles se délectaient du spectacle lorsqu'il déferlait sa rage sur ses chaines. Une bête de foire, ce n'était rien de plus à leurs yeux. Discrètement j'allais le soir lui parler, je lui apportais de la nourriture et il me parlait de sa ville natale, de sa culture. J'étais le seul Valyena qu'il ne haïssait pas. J'en étais fier, en soit. Aladrya était consciente de mes escapades nocturnes, mais elle me couvrait vis à vis de mon père.
Ce fut lorsque j'avais 12ans que tout changea. Je fréquentais en cachette un enfant-loup et un humain de mon âge. Je m'opposais de plus en plus aux mœurs de ma famille. Un jour un fils de noble profana un temple, sa famille était proche de la mienne aussi mes frères maquillèrent la scène et accusèrent mes amis, pour qu'ils soient punis à la place du vrai délinquant. En apprenant cela je couru dans l'une de ces grandes salles de réunions où les nobles se regroupaient pour traiter des affaires de notre nation, mon père siégeait fièrement au conseil avec mes frères à ses côtés. J'hurlai de colère la vérité, mais je fus trainé dehors et jeté en prison. Mon père ne m'avait même pas accordé un regard...
Quelques jours plus tard on m'amena dehors, dans la cours, il pleuvait, des éclairs scindaient le ciel. Deux gros bras, un prêtre et l'un de mes frères étaient là. Ce dernier me lu un compte rendu d'une audience. Je restai bouche bée, il venait de m'annoncer ma mise à mort pour trahison, je ne comprenais pas, cela n'avait aucun sens, j'étais son frère, condamna t-il à mort simplement pour avoir débarqué dans la salle de réunion en criant ? C'était impossible, quelque chose m'échappait. Il tourna les talons et s'en alla, je voulu l'arrêter et exiger des explications, mais j'eus à peine fait un pas que les deux armoires a glace me retinrent. Le prêtre apparemment consterné posa la paume de sa main sur mon front, aussitôt une décharge électrique me secoua le corps. Ce courant mortel se rependait en moi, je mourais.
Mais Non! Je devais résister, combattre! Je me souvins des sorts des soins, j'excellais en la matière. La petite lumière bleue m'entoura, mes muscles tremblaient, mon sort me maintenait en vie mais la douleur restait insoutenable. Néanmoins à travers le calvaire je la vis. Aladrya arriva en volant à une vitesse incroyable, plus rapide encore, son dévastateur éclair blanc. Il transperça le prêtre et propulsa à des mètres de là sa dépouille brulée. Elle se débarrassa avec autant de facilité des deux gardes. Lorsque leur étreinte s'en alla avec leurs corps, je tomba à genoux, mes forces m'abandonnaient, mais dès qu'elle posa ses mains sur mes joues je stoppai ma course vers l'évanouissement, ses soins faisaient déjà effet sur moi.
« - Krivis, me dit-elle, tout ceci est une mascarade, on n'a jamais condamné un enfant de 12ans pour si peu, mais je ne vais pas pouvoir influencer notre père pour cette affaire là, vas t-en Krivis, ne remets jamais les pieds ici, je tenterais de découvrir ce que tout ceci cache... »
En même temps qu'elle parlait elle me faisait monter sur une panthère, dans l'étable voisine. Je l'écoutais à moitié, le tonnerre grondait encore dans mes oreilles. Puis elle embrassa mon front et claqua l'arrière de ma monture qui fonça à toute vitesse loin d'ici.
Mes paupières étaient lourde, m'agrippant à la scelle de l'animal, je tombai inconscient contre son pelage noir.
Tout était très clair pourtant, ma famille avait voulu se débarrasser de moi, mon intervention en salle de conférence n'avait été qu'un prétexte. Il allait sans doutes se dire que je tuai les gardes avant de m'échapper, ma sœur dira qu'elle appris ma condamnation trop tard, je serais sans doutes pourchassé et la vérité ne me sera révélé qu'au prix de certain sacrifices. Mais il le fallait. Je m'entrainais seul dans une aventure qui allait peut être me couter la vie, mais je devais découvrir ce qui se tramait chez les Valyena, pourquoi j'avais frôler la mort. Je rouvris lentement les yeux, je voyais du sable et des canyons, je devais être dans le désert, mais à l'horizon c'était un futur difficile qui se profilait.
A suivre...
Dernière édition par Krivis le Mar 22 Déc - 15:46, édité 1 fois
Re: Les Chroniques de Krivis
Chronique n°2: Le Maraudeur des Sables chauds
Je m'appelle Krivis Valyena. J'aurais pus avoir une vie banale de laquelle je me serais pleinement satisfait, mais il a du être écrit que je devrais mener une existence tumultueuse. Je n'ai pas choisi ma destiné, je me console juste en me disant qu'à vivre sans périls on triomphe sans gloire. Voilà une parcelle de mon histoire:
J'ai été contrains de fuir la capitale. Ma sœur m'avait une fois de plus sauvé la mise. Il était évident que j'allais élucider ces mystères qui planaient autour de ma tête. Je devais savoir pourquoi les Valyena souhaitent me tuer, mais je dus d'abord me remettre de mon presque-assassinat. J'échangeai d'abord mes vêtements luxueux contre une tenue de paladin à manteau long et quelques pièces d'or. Je pus dormir quelques soirs à l'auberge, puis ce fut à la belle étoile. Dans le canyon de la citée disparue les nuits étaient supportables, à l'abri du vent chargé de sable. Mais ce fut la faim qui vint me heurter. Je passai ainsi quatre jours à errer affamé. Le lendemain je vis un marchand disposer de ses fruits et légumes sur son étalage. La salive emplissait ma bouche, mon estomac criait famine. Je m'approchai doucement. Les gens affluaient, échangeant avec le commerçant. Je me déplaçai dans la foule, puis sans vraiment en être conscient je bousculai un homme qui se heurta à un autren exclamation attira l'œil du vendeur et j'utilisai la magie liée au vent pour propulser un beau fruit à l'apparat juteux sous mon manteau. Honteux je m'enfuis à pas rapides avec ma première vole. Je bifurquai au premier tournant, et sorti mon fruit, alléché je m'apprêtais à le croquer, quand soudain, une flèche me passa sous le nez, emportant ma proie avec elle. Je tournai donc la tête pour suivre cette flèche qui vint se planter dans une poutre à l'autre bout de la traverse. Poutre sur laquelle une jolie fille renarde était perchée. Elle brisa la flèche et ramassa ma pomme, et sans plus de cérémonie, croqua dedans en me souriant. Tout choqué, je tournai la tête de l'autre côté, l'archer, un jeune elfe, rangeait son arc en s'approchant de moi. En fait il se contenta de me passer devant et de me tapoter l'épaule en me disant:
« - Désolé mon vieux, c'est la dure loi de la jungle. »
Je voulu l'attraper mais sorti de nul part un homme bête du même âge me poussa. Je trébuchai dans des poubelles. Je me relevais vite en m'écriant:
« - Et toi là! Attend ! »
Mais le petit groupe était déjà parti dans la rue adjacente. Je parti donc à leur poursuite. En m'apercevant ils coururent aussi. Après une petite minute ils s'arrêtèrent dans une rue déserte. Le vent faisait danser le sable chaud sur les pavés sals.
« - Vous! Vous m'avez volé! Criais-je.
-Et alors ? Tu l'avais peut être acheté cette pomme? Me répondit la fille en finissant mon fruit.
-Je ne vous lâcherai pas tant que vous ne m'en aurez pas rendu une autre!
-Tu veux qu'on te rembourse une pomme ? Me demanda l'archer.
-Parfaitement.
-Ou sinon quoi ? Tu vas dire aux gardes qu'on t'a volé un bien que tu as toi même volé ?
-Ou sinon je vais te... »
Je lui fonçai dessus, mais de nouveau le jeune homme-bête s'interposa et tenta de me repousser. Entrainé au combat je ne me fis pas avoir une deuxième fois. J'esquivai sa charge et le frappa à la tempe, le faisant tituber. Son regard se remplit de colère et il alla répliquer quand l'archer s'interposa. Il le retint par le bras et me lança:
« - Attends! On va faire ça dans les règles.
-Tu parles...
-Si tu bats Khuul en duel, je te rembourserais ta pomme. Sinon, tu me files ta bague là. »
Je jetais un coup d'œil à mon torse. Une bague était accrochée à mon cou par un cordon. Elle portait les armoiries de ma famille.
« - Tenu, répondis-je. »
Aussitôt l'archer éclata de rire et fit un signe de tête au dit Khuul. Il ôta son haut, dévoila une impressionnante masse de muscles sous son pelage. De nouveau il me chargea. Je me préparais à contrer, mais au moment de la parade, ce fut comme un choc avec un pilier. Sa force bestiale me surpassa et il me propulsa contre le mur de l'allée. Je m'écrasai contre avant de retomber lourdement au sol. Il ne perdit pas de temps, me ramassa, me souleva au dessus de sa tête et me lança dans un tas de rondins de bois. Je tombai comme un météore dedans, les faisant dégringoler. Il chargea de nouveau, mais j'eus le temps de rouler pour l'esquiver. Je donnais un coup de pied dans son mollet, mais ça n'eut pas plus d'effet que ça. Il me le rendit et je m'écroulai de nouveau contre le sol poussiéreux. Il me tomba dessus comme la misère sur le monde et commença à me boxer au visage. Je sentais le sang engloutir ma bouche sous ses coups. Au bout d'un moment il se releva et commença à retourner vers son groupe. L'archer revint et posa sa main sur mon collier. Je le saisi au poignet.
« - Ah, un pari est un pari, me dit il.
-Oui, mais il n'est pas fini le combat. »
Je me relevais péniblement.
« - Comme tu voudras... »
Le géant me fonça à nouveau dessus, ma parade fut encore une fois vaine, et je me pris son coup de poing en plein visage, volant sur plusieurs mètres.
« - Et reste au sol cette fois ! »
Ce coup m'avait vraiment sonné, je crachai un filet ensanglanté, m'appuyant sur mes poings. J'avais du sable plein la figure, mêlé à mon propre sang. Je me relevai avec difficulté.
« - Mais il n'est pas vrai celui là ! Il est constitué comme un homme-bête ou quoi ?!»
Il bondit vers moi. Il me suffisait d'un coup pour me débarrasser de cette bête, mais mes bléssures et la faim étaient pesantes. Il me frappa de nouveau, me lança contre un mur, et m'y plaqua en m'étranglant contre. Là, c'était le bon moment. Je posai la paume de ma main sur son abdomen et dégluti:
« - Technique Ancestrale des Valyena: Onde foudroyante ! »
Une lumière brilla dans ma main, mon adversaire eux à peine le temps d'y porter attention qu'une puissante explosion le projeta dans le sens opposé. Il traversa l'autre mur de la ruelle, finissant sous les décombres de cet entrepôt abandonné, le corps secoué par quelques décharges électriques. Cette technique avait été développée par les prêtres ancien Valyena. Elle mélangeait la tornade Elfique et l'attaque de la sphère électrique.
« - Ahahah! Rit l'archer, Vraiment prodigieux! Tu es le premier à le battre!
-J'escompte que la pomme sera aussi juteuse que celle que j'ai perdu...
-Raah! Mais j'ai mieux à te proposer. Ecoutes on fait parti du clan des voleurs de la citée disparue, rejoins nous donc, tu y seras gagnant.
-Je ne suis pas un voleur!
-Oui oui, et cette pomme et tombée dans ton manteau c'est ça ? Je t'ai vu t'es même un sacré bon voleur, puis tu sais te battre. »
L'idée en soit ne me plaisait pas, mais les nuits difficiles avec pour seule compagnie, la faim, je n'en voulais plus vraiment.
« - Ok, répondis-je, je marche.
-Ahah parfait! Au fait je me présente, Arusio le Vagabond, Voici Mylusia la chapardeuse et celui que tu viens de mettre KO c'est Khuul la teigne. Toi tu es ?
-Euh Je m'appelle Krivis Val... hmm Krivis le Maraudeur. »
C'est ainsi que je m'engageai chez les voleurs. J'en avais besoin pour survivre, et surtout pour reprendre des forces avant de retourner affronter ma famille, et j'avais besoin de compagnons des fois que ce soit ma famille qui me retrouve la première... Ma vie de Maraudeur du désert commença pour ainsi dire à ce moment là.
A suivre...
Je m'appelle Krivis Valyena. J'aurais pus avoir une vie banale de laquelle je me serais pleinement satisfait, mais il a du être écrit que je devrais mener une existence tumultueuse. Je n'ai pas choisi ma destiné, je me console juste en me disant qu'à vivre sans périls on triomphe sans gloire. Voilà une parcelle de mon histoire:
J'ai été contrains de fuir la capitale. Ma sœur m'avait une fois de plus sauvé la mise. Il était évident que j'allais élucider ces mystères qui planaient autour de ma tête. Je devais savoir pourquoi les Valyena souhaitent me tuer, mais je dus d'abord me remettre de mon presque-assassinat. J'échangeai d'abord mes vêtements luxueux contre une tenue de paladin à manteau long et quelques pièces d'or. Je pus dormir quelques soirs à l'auberge, puis ce fut à la belle étoile. Dans le canyon de la citée disparue les nuits étaient supportables, à l'abri du vent chargé de sable. Mais ce fut la faim qui vint me heurter. Je passai ainsi quatre jours à errer affamé. Le lendemain je vis un marchand disposer de ses fruits et légumes sur son étalage. La salive emplissait ma bouche, mon estomac criait famine. Je m'approchai doucement. Les gens affluaient, échangeant avec le commerçant. Je me déplaçai dans la foule, puis sans vraiment en être conscient je bousculai un homme qui se heurta à un autren exclamation attira l'œil du vendeur et j'utilisai la magie liée au vent pour propulser un beau fruit à l'apparat juteux sous mon manteau. Honteux je m'enfuis à pas rapides avec ma première vole. Je bifurquai au premier tournant, et sorti mon fruit, alléché je m'apprêtais à le croquer, quand soudain, une flèche me passa sous le nez, emportant ma proie avec elle. Je tournai donc la tête pour suivre cette flèche qui vint se planter dans une poutre à l'autre bout de la traverse. Poutre sur laquelle une jolie fille renarde était perchée. Elle brisa la flèche et ramassa ma pomme, et sans plus de cérémonie, croqua dedans en me souriant. Tout choqué, je tournai la tête de l'autre côté, l'archer, un jeune elfe, rangeait son arc en s'approchant de moi. En fait il se contenta de me passer devant et de me tapoter l'épaule en me disant:
« - Désolé mon vieux, c'est la dure loi de la jungle. »
Je voulu l'attraper mais sorti de nul part un homme bête du même âge me poussa. Je trébuchai dans des poubelles. Je me relevais vite en m'écriant:
« - Et toi là! Attend ! »
Mais le petit groupe était déjà parti dans la rue adjacente. Je parti donc à leur poursuite. En m'apercevant ils coururent aussi. Après une petite minute ils s'arrêtèrent dans une rue déserte. Le vent faisait danser le sable chaud sur les pavés sals.
« - Vous! Vous m'avez volé! Criais-je.
-Et alors ? Tu l'avais peut être acheté cette pomme? Me répondit la fille en finissant mon fruit.
-Je ne vous lâcherai pas tant que vous ne m'en aurez pas rendu une autre!
-Tu veux qu'on te rembourse une pomme ? Me demanda l'archer.
-Parfaitement.
-Ou sinon quoi ? Tu vas dire aux gardes qu'on t'a volé un bien que tu as toi même volé ?
-Ou sinon je vais te... »
Je lui fonçai dessus, mais de nouveau le jeune homme-bête s'interposa et tenta de me repousser. Entrainé au combat je ne me fis pas avoir une deuxième fois. J'esquivai sa charge et le frappa à la tempe, le faisant tituber. Son regard se remplit de colère et il alla répliquer quand l'archer s'interposa. Il le retint par le bras et me lança:
« - Attends! On va faire ça dans les règles.
-Tu parles...
-Si tu bats Khuul en duel, je te rembourserais ta pomme. Sinon, tu me files ta bague là. »
Je jetais un coup d'œil à mon torse. Une bague était accrochée à mon cou par un cordon. Elle portait les armoiries de ma famille.
« - Tenu, répondis-je. »
Aussitôt l'archer éclata de rire et fit un signe de tête au dit Khuul. Il ôta son haut, dévoila une impressionnante masse de muscles sous son pelage. De nouveau il me chargea. Je me préparais à contrer, mais au moment de la parade, ce fut comme un choc avec un pilier. Sa force bestiale me surpassa et il me propulsa contre le mur de l'allée. Je m'écrasai contre avant de retomber lourdement au sol. Il ne perdit pas de temps, me ramassa, me souleva au dessus de sa tête et me lança dans un tas de rondins de bois. Je tombai comme un météore dedans, les faisant dégringoler. Il chargea de nouveau, mais j'eus le temps de rouler pour l'esquiver. Je donnais un coup de pied dans son mollet, mais ça n'eut pas plus d'effet que ça. Il me le rendit et je m'écroulai de nouveau contre le sol poussiéreux. Il me tomba dessus comme la misère sur le monde et commença à me boxer au visage. Je sentais le sang engloutir ma bouche sous ses coups. Au bout d'un moment il se releva et commença à retourner vers son groupe. L'archer revint et posa sa main sur mon collier. Je le saisi au poignet.
« - Ah, un pari est un pari, me dit il.
-Oui, mais il n'est pas fini le combat. »
Je me relevais péniblement.
« - Comme tu voudras... »
Le géant me fonça à nouveau dessus, ma parade fut encore une fois vaine, et je me pris son coup de poing en plein visage, volant sur plusieurs mètres.
« - Et reste au sol cette fois ! »
Ce coup m'avait vraiment sonné, je crachai un filet ensanglanté, m'appuyant sur mes poings. J'avais du sable plein la figure, mêlé à mon propre sang. Je me relevai avec difficulté.
« - Mais il n'est pas vrai celui là ! Il est constitué comme un homme-bête ou quoi ?!»
Il bondit vers moi. Il me suffisait d'un coup pour me débarrasser de cette bête, mais mes bléssures et la faim étaient pesantes. Il me frappa de nouveau, me lança contre un mur, et m'y plaqua en m'étranglant contre. Là, c'était le bon moment. Je posai la paume de ma main sur son abdomen et dégluti:
« - Technique Ancestrale des Valyena: Onde foudroyante ! »
Une lumière brilla dans ma main, mon adversaire eux à peine le temps d'y porter attention qu'une puissante explosion le projeta dans le sens opposé. Il traversa l'autre mur de la ruelle, finissant sous les décombres de cet entrepôt abandonné, le corps secoué par quelques décharges électriques. Cette technique avait été développée par les prêtres ancien Valyena. Elle mélangeait la tornade Elfique et l'attaque de la sphère électrique.
« - Ahahah! Rit l'archer, Vraiment prodigieux! Tu es le premier à le battre!
-J'escompte que la pomme sera aussi juteuse que celle que j'ai perdu...
-Raah! Mais j'ai mieux à te proposer. Ecoutes on fait parti du clan des voleurs de la citée disparue, rejoins nous donc, tu y seras gagnant.
-Je ne suis pas un voleur!
-Oui oui, et cette pomme et tombée dans ton manteau c'est ça ? Je t'ai vu t'es même un sacré bon voleur, puis tu sais te battre. »
L'idée en soit ne me plaisait pas, mais les nuits difficiles avec pour seule compagnie, la faim, je n'en voulais plus vraiment.
« - Ok, répondis-je, je marche.
-Ahah parfait! Au fait je me présente, Arusio le Vagabond, Voici Mylusia la chapardeuse et celui que tu viens de mettre KO c'est Khuul la teigne. Toi tu es ?
-Euh Je m'appelle Krivis Val... hmm Krivis le Maraudeur. »
C'est ainsi que je m'engageai chez les voleurs. J'en avais besoin pour survivre, et surtout pour reprendre des forces avant de retourner affronter ma famille, et j'avais besoin de compagnons des fois que ce soit ma famille qui me retrouve la première... Ma vie de Maraudeur du désert commença pour ainsi dire à ce moment là.
A suivre...
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