Néko la démone.
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Néko la démone.
Chap 1 L'enfance de Neko
Nul ne savait d’où je venais. Je n’étais encore qu’une
petite renarde quand un homme me trouva, à peine vivante, dans la plaine de
Foredawn. N’imaginant pas ma véritable nature, il m’emporta jusqu'au camp ou se
trouvé son épouse qui porter en elle la vie. Grâce à ces talents de guérisseur
et sous le regard protecteur, mais inquiet de son époux, elle n’eu aucun mal à
pensé mes blessures.
Après plusieurs heures de veille, ils virent avec stupeur ma
transformation inconsciente. A l’instar d’un lycanthrope, je devenais peut à
peut une petite fille. (Bien qu’il me restait de ma forme renarde, une toute
petite queue et deux petites pointes sur le haut de ma tête.) La panique
s’empara de la jeune femme, elle savait de mon peuple qu’ils étaient le fruit
du démon. Des hommes bêtes…
Son mari tenta de la rassurer. « Regarde-la » lui dit-il.
« Que pourrait-elle nous faire ? » Elle ne pouvait qu’acquiescer,
devant l’enfant que j’étais. Malheureusement, le chef de leur clan n’était
guère de cet avis et les mit en garde. « Quelqu’un viendra surement la
récupérer ! On ne peut faire confiance à ces créatures. Un grand malheur
s'abattrais sur nous, si vous vous entêtez à la gardais chez vous ! »
De surcroîts, je ne me rappelais rien de mon passé, accentuant leurs craintes…
Pourtant, malgré les mises en garde répéter des leurs. Aucun
intrus ne vain me réclamer, Aucune mère… Aucun père… A croire que je venais du
ciel… ou de l’enfer devrais je dire… Ma « mère » adoptif mis au monde
un petit garçon. Mais pendant que mon père tenait la vie entre ces bras… La vie
de sa femme fuyait…
Du fond de la pièce, aucune larme ne pouvait trahir la
douleur en moi. Figé, je rester là, à contemplé de mon visage mate le corps à
présent froid de ma protectrice. J’entendis les murmures des sages femmes.
« Ces la faute de leurs créatures, ce monstre la tuée d’une malédiction, elle
va porter le malheur sur nous tous ! »
Les jours passa, l’amertume, la dépression et la fatigue
peigné le visage de mon père adoptif. Malgré cela, il ne me reprocha pas la
mort de sa femme, sa bonté était sens pareil et il me permit même de l’aider à
prendre soin du bébé.
D’autres années c’était écouler et mon apparence n’avait que
très peut changer. Je ne devais avoir que sept ans à mon arrivé ici. A présent,
des inconnues pourraient jurer que mon petit frère avait mon âge.
Nous étions inséparables, loin du camp, il aimait me
regarder utilisé mes pouvoirs que je tentais de contrôler. Nous jouons des
tours aux villageois en mettant le feu à des tas de pailles. Notre naïveté et
innocence, ne nous permettez pas de nous rendre compte que ces choses était
mal.
Mais tout ceci, n’était guère grave comparer au drame qui m’attendait.
Les autres enfants du village, me détestaient… Qui les blâmeraient ? Leurs
parents leurs répéter que je n’étais qu’une sale petite démone. Et tous, or mis
mon petit frère, me brutalisé.
Ce soir là, ils avaient préparé à mon attention, un tour
vraiment ignoble.
Une des jeunes filles vînt à ma rencontre, affolé. Elle me
fit croire que mon petit frère était tombé dans le profond puits du village. Terrorisé,
je la laissai là et accouru prés du puits. Trop haut pour moi je du bondir tel
un chat sur son rebord. J’appelai en me penchant vers le fond quand soudain
quelqu’un mis poussa.
La chute fut brutal, je me cognai contre le rebord du puits
avant de plonger dans l’eau glacée et visqueuse.
Nul ne savait d’où je venais. Je n’étais encore qu’une
petite renarde quand un homme me trouva, à peine vivante, dans la plaine de
Foredawn. N’imaginant pas ma véritable nature, il m’emporta jusqu'au camp ou se
trouvé son épouse qui porter en elle la vie. Grâce à ces talents de guérisseur
et sous le regard protecteur, mais inquiet de son époux, elle n’eu aucun mal à
pensé mes blessures.
Après plusieurs heures de veille, ils virent avec stupeur ma
transformation inconsciente. A l’instar d’un lycanthrope, je devenais peut à
peut une petite fille. (Bien qu’il me restait de ma forme renarde, une toute
petite queue et deux petites pointes sur le haut de ma tête.) La panique
s’empara de la jeune femme, elle savait de mon peuple qu’ils étaient le fruit
du démon. Des hommes bêtes…
Son mari tenta de la rassurer. « Regarde-la » lui dit-il.
« Que pourrait-elle nous faire ? » Elle ne pouvait qu’acquiescer,
devant l’enfant que j’étais. Malheureusement, le chef de leur clan n’était
guère de cet avis et les mit en garde. « Quelqu’un viendra surement la
récupérer ! On ne peut faire confiance à ces créatures. Un grand malheur
s'abattrais sur nous, si vous vous entêtez à la gardais chez vous ! »
De surcroîts, je ne me rappelais rien de mon passé, accentuant leurs craintes…
Pourtant, malgré les mises en garde répéter des leurs. Aucun
intrus ne vain me réclamer, Aucune mère… Aucun père… A croire que je venais du
ciel… ou de l’enfer devrais je dire… Ma « mère » adoptif mis au monde
un petit garçon. Mais pendant que mon père tenait la vie entre ces bras… La vie
de sa femme fuyait…
Du fond de la pièce, aucune larme ne pouvait trahir la
douleur en moi. Figé, je rester là, à contemplé de mon visage mate le corps à
présent froid de ma protectrice. J’entendis les murmures des sages femmes.
« Ces la faute de leurs créatures, ce monstre la tuée d’une malédiction, elle
va porter le malheur sur nous tous ! »
Les jours passa, l’amertume, la dépression et la fatigue
peigné le visage de mon père adoptif. Malgré cela, il ne me reprocha pas la
mort de sa femme, sa bonté était sens pareil et il me permit même de l’aider à
prendre soin du bébé.
D’autres années c’était écouler et mon apparence n’avait que
très peut changer. Je ne devais avoir que sept ans à mon arrivé ici. A présent,
des inconnues pourraient jurer que mon petit frère avait mon âge.
Nous étions inséparables, loin du camp, il aimait me
regarder utilisé mes pouvoirs que je tentais de contrôler. Nous jouons des
tours aux villageois en mettant le feu à des tas de pailles. Notre naïveté et
innocence, ne nous permettez pas de nous rendre compte que ces choses était
mal.
Mais tout ceci, n’était guère grave comparer au drame qui m’attendait.
Les autres enfants du village, me détestaient… Qui les blâmeraient ? Leurs
parents leurs répéter que je n’étais qu’une sale petite démone. Et tous, or mis
mon petit frère, me brutalisé.
Ce soir là, ils avaient préparé à mon attention, un tour
vraiment ignoble.
Une des jeunes filles vînt à ma rencontre, affolé. Elle me
fit croire que mon petit frère était tombé dans le profond puits du village. Terrorisé,
je la laissai là et accouru prés du puits. Trop haut pour moi je du bondir tel
un chat sur son rebord. J’appelai en me penchant vers le fond quand soudain
quelqu’un mis poussa.
La chute fut brutal, je me cognai contre le rebord du puits
avant de plonger dans l’eau glacée et visqueuse.
Neko- Commandant
- Messages : 169
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 40
Localisation : deriere mon ordi :o
Re: Néko la démone.
Reprenant vite mes esprits, je hurlais en m’apercevant qu’on
refermer le couvercle au dessus de moi. Le noir fit taire mes
cris. J’essayais de remonter mais la paroi était impraticable,
même pour une féline comme moi. Un filé de sang coula le long
de mon front.
Les heures passèrent. La colère, la peur et la haine
commençaient à me faire perdre la tête. Ma respiration ce fut
de plus en plus allaitante. L’angoisse pris le dessus sur la raison
et je sentis une énergie encore inconnue bouillir en moi. Les
heures continuaient de défiler…
Il me semblait être resté la pendant toute la nuit. J’étais
gelée mais pire encore l’énergie négative s’amplifier de plus en
plus. Je crus que mon corps aller imploser !
Soudain, plus rien
Je ne ressentis plus aucune douleur. Comme posséder, je
relevais la tête vers le haut de ma prison. Les yeux grand ouvert
mais néanmoins sans expression, j’observais mon corps agir par
lui-même.
Doucement, je levais le bras, paume ouverte vert le haut. Il
ne fut que quelque seconde pour qu’une énorme boule d’énergie
verte sortis de ma main pour se fracasser contre le solide couvercle.
Tout les débris me retombèrent dessus mais je ne bronchai pas.
Comme en transe je pliai les genoux pour prendre plus de force et
sauta vers la sortis.
Le bruit de l'explosion que j’avais provoqué avait réveillé les villageois
et la haine simplifia quand je constatais que personne ne cherchaient a
près moi. Un des villageois, (fourche à la main) s’avança d’un pas
rapide vers moi. « Non ! Mais qu’a tu encore fais ! » Hurla
t-il. Les autres gens étaient scandalisé me montré d’un doigt accusateur.
Je ne bougeais pas, les yeux rivé devant moi, je ne vis même pas cette
espèce d’aura verte qui m’entourer. L’homme à la fourche s’approcha de moi
en m’hurlant des insultes.
Comme je ne réagissais toujours pas, il leva la main mais l’aura verte le
projeta à au moins dix mètres de moi. Le choc fit naitre un silence lourd et la
foule commença à reculer.
Ainsi, je levai pour une seconde fois la main vers eux. Voyant
la boule se formait en son creux. Un hurlement de terreur collectif les fit
paniquer. Sous mes pieds, le néant s’ouvrit laissant s’échapper des nué de
petite boules verte qui tourné de plus en plus vite autour de moi. Les voir terrorisé
me procura un demi-sourire sadique et une impression nouvelle en moi. C’était
donc ce qu’on ressentait lorsqu’on avait accumulé tend de haine et que nous étions
sur le point de nous venger. Un rire cruel sortis de ma bouche, un rire de démon
dans un corps de fillette, et d’un geste rapide, j’éjectais les bulles vertes
dans tout les sens autour de moi.
Les gens se faisaient toucher de plein fouée en hurlant de
douleur et de convulsion, ils tombaient les un après les autres, empoisonné.
Il n’y avait plus personne sur la place, je restai là, seul
au milieu de ces cadavres...
refermer le couvercle au dessus de moi. Le noir fit taire mes
cris. J’essayais de remonter mais la paroi était impraticable,
même pour une féline comme moi. Un filé de sang coula le long
de mon front.
Les heures passèrent. La colère, la peur et la haine
commençaient à me faire perdre la tête. Ma respiration ce fut
de plus en plus allaitante. L’angoisse pris le dessus sur la raison
et je sentis une énergie encore inconnue bouillir en moi. Les
heures continuaient de défiler…
Il me semblait être resté la pendant toute la nuit. J’étais
gelée mais pire encore l’énergie négative s’amplifier de plus en
plus. Je crus que mon corps aller imploser !
Soudain, plus rien
Je ne ressentis plus aucune douleur. Comme posséder, je
relevais la tête vers le haut de ma prison. Les yeux grand ouvert
mais néanmoins sans expression, j’observais mon corps agir par
lui-même.
Doucement, je levais le bras, paume ouverte vert le haut. Il
ne fut que quelque seconde pour qu’une énorme boule d’énergie
verte sortis de ma main pour se fracasser contre le solide couvercle.
Tout les débris me retombèrent dessus mais je ne bronchai pas.
Comme en transe je pliai les genoux pour prendre plus de force et
sauta vers la sortis.
Le bruit de l'explosion que j’avais provoqué avait réveillé les villageois
et la haine simplifia quand je constatais que personne ne cherchaient a
près moi. Un des villageois, (fourche à la main) s’avança d’un pas
rapide vers moi. « Non ! Mais qu’a tu encore fais ! » Hurla
t-il. Les autres gens étaient scandalisé me montré d’un doigt accusateur.
Je ne bougeais pas, les yeux rivé devant moi, je ne vis même pas cette
espèce d’aura verte qui m’entourer. L’homme à la fourche s’approcha de moi
en m’hurlant des insultes.
Comme je ne réagissais toujours pas, il leva la main mais l’aura verte le
projeta à au moins dix mètres de moi. Le choc fit naitre un silence lourd et la
foule commença à reculer.
Ainsi, je levai pour une seconde fois la main vers eux. Voyant
la boule se formait en son creux. Un hurlement de terreur collectif les fit
paniquer. Sous mes pieds, le néant s’ouvrit laissant s’échapper des nué de
petite boules verte qui tourné de plus en plus vite autour de moi. Les voir terrorisé
me procura un demi-sourire sadique et une impression nouvelle en moi. C’était
donc ce qu’on ressentait lorsqu’on avait accumulé tend de haine et que nous étions
sur le point de nous venger. Un rire cruel sortis de ma bouche, un rire de démon
dans un corps de fillette, et d’un geste rapide, j’éjectais les bulles vertes
dans tout les sens autour de moi.
Les gens se faisaient toucher de plein fouée en hurlant de
douleur et de convulsion, ils tombaient les un après les autres, empoisonné.
Il n’y avait plus personne sur la place, je restai là, seul
au milieu de ces cadavres...
Neko- Commandant
- Messages : 169
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 40
Localisation : deriere mon ordi :o
Re: Néko la démone.
La pluie commença à tombé sur mon corps irradié de douleur.
Marchant sur ces morceaux de viande sens importance, je
cherchais inconsciemment le moyen de me réveillais de cette
état second. Ou étaient-ils ? Les avais-je tuer sous ma folie ?
D’une voie cassé et d’un murmure, je ne cesser d’appeler son
nom. Puis mes jambes me firent défauts et je tombai à genoux
avant de m’évanouir.
Quand je repris conscience, je sentais la chaleur familière de
mes couvertures, l’odeur de ma chambre, les sons de cette vieille
maison.
« Tu te réveille… »
Cette voie, j’ouvris doucement les yeux emplie de larmes. Je ne
savais si je pleurais depuis longtemps ou si cela venait de commencer.
« Papa » murmurais-je de ma voie casser. « Ils ont emmené ton fils,
ils ont … » Il me coupa en m’indiquant mon petit frère assis à
mon chevet. Épuisé, il s’était endormi.
Voyant que je ne comprenais plus rien, il m’expliqua : « Nous
t’avons attendu une bonne partis de la nuit, mais tu ne rentrer
pas alors nous somme partis à ta recherche et quand nous sommes
revenue au village… » Je me remémorai la scène avec horreur.
« J’ai tué tout le monde… » M’étranglais-je.
Mon père devin pale, il devait souhaiter autre chose. La vérité
lui transperça le cœur et il prit peur pour son fils. Je tentai de lui
expliquer mes raisons mais plus je tentais plus il était livide de terreur.
Après tout je le comprenais, je n’ai pas su me contrôler, que pourrais-je
faire de pire la prochaine fois ?
Choqué, je pris quelques minutes pour réfléchir, il allait
me le dire. Je ne voulais pas l’entendre de sa bouche, je me transformai
donc sous ma forme renarde et alla me frottais une dernière fois contre
mon petit frère endormi.
Ma joue contre la sienne… j’aurais voulu rester ainsi pour le restant
de mes jours…
Mais la douleur me repris alors... je me relevai, fis face à mon père
qui s’était mis à pleurais... Les villageois avaient eu raison, pensais-je.
J’ai finis par détruire ca vie. Une dernière étreinte serait de
trop et je pris la fuite...
Passant par la fenêtre, je me mis à courir, loin, aussi loin
que puisse me portait mes dernières forces…
Marchant sur ces morceaux de viande sens importance, je
cherchais inconsciemment le moyen de me réveillais de cette
état second. Ou étaient-ils ? Les avais-je tuer sous ma folie ?
D’une voie cassé et d’un murmure, je ne cesser d’appeler son
nom. Puis mes jambes me firent défauts et je tombai à genoux
avant de m’évanouir.
Quand je repris conscience, je sentais la chaleur familière de
mes couvertures, l’odeur de ma chambre, les sons de cette vieille
maison.
« Tu te réveille… »
Cette voie, j’ouvris doucement les yeux emplie de larmes. Je ne
savais si je pleurais depuis longtemps ou si cela venait de commencer.
« Papa » murmurais-je de ma voie casser. « Ils ont emmené ton fils,
ils ont … » Il me coupa en m’indiquant mon petit frère assis à
mon chevet. Épuisé, il s’était endormi.
Voyant que je ne comprenais plus rien, il m’expliqua : « Nous
t’avons attendu une bonne partis de la nuit, mais tu ne rentrer
pas alors nous somme partis à ta recherche et quand nous sommes
revenue au village… » Je me remémorai la scène avec horreur.
« J’ai tué tout le monde… » M’étranglais-je.
Mon père devin pale, il devait souhaiter autre chose. La vérité
lui transperça le cœur et il prit peur pour son fils. Je tentai de lui
expliquer mes raisons mais plus je tentais plus il était livide de terreur.
Après tout je le comprenais, je n’ai pas su me contrôler, que pourrais-je
faire de pire la prochaine fois ?
Choqué, je pris quelques minutes pour réfléchir, il allait
me le dire. Je ne voulais pas l’entendre de sa bouche, je me transformai
donc sous ma forme renarde et alla me frottais une dernière fois contre
mon petit frère endormi.
Ma joue contre la sienne… j’aurais voulu rester ainsi pour le restant
de mes jours…
Mais la douleur me repris alors... je me relevai, fis face à mon père
qui s’était mis à pleurais... Les villageois avaient eu raison, pensais-je.
J’ai finis par détruire ca vie. Une dernière étreinte serait de
trop et je pris la fuite...
Passant par la fenêtre, je me mis à courir, loin, aussi loin
que puisse me portait mes dernières forces…
Neko- Commandant
- Messages : 169
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 40
Localisation : deriere mon ordi :o
Re: Néko la démone.
T_T c'est vraiment triste comme histoire.
faudrait que t'écrive un bouquin Neko (avec un talent pareil à me faire pleurer c'est bon signe).
faudrait que t'écrive un bouquin Neko (avec un talent pareil à me faire pleurer c'est bon signe).
Jala- Messages : 56
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 31
Localisation : un coin paumé dans le 78
Re: Néko la démone.
J'avoue tu est très douées ,je trouve que ton histoire est super =)
Shadowcase- Messages : 17
Date d'inscription : 05/01/2010
Age : 32
Localisation : Ile de la reunion
Re: Néko la démone.
merci
Neko- Commandant
- Messages : 169
Date d'inscription : 19/12/2009
Age : 40
Localisation : deriere mon ordi :o
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